Ça CEst Passé Simplement 6
Lundi 27 mai 1985
Le lundi 27 mai, en début de matinée, alors que jétais en train de ranger des documents sur mes étagères Mireille passa et poussant la porte vint vers moi et se collant à moi me dit : « Embrasses moi ».
Moi : « Tu es folle »
Elle : « Oui, tu me rends folle, jai envie de toi, embrasses moi, ou je hurle »
Et elle se colla à moi et sen suivi un baiser « sensuel » dans la mesure où si nos lèvres sunirent nos langues se trouvèrent son corps se frottait au mien, ce qui ne tarda pas à créer un gonflement sous ma ceinture et sentant cela Mireille me souffla dans loreille : « Caresses moi »
Moi : « Si les filles (les secrétaires et le comptables que lont appelé ainsi) se déplaçaient »
Elle : « Ne tinquiètes pas, le patron est parti, les filles ont de quoi soccuper un bout de temps, ainsi nous avons un peu de temps à nous. On ne risque rien et jai mis une jupe adaptée. Regardes »
Effectivement cétait une jupe, type trapèze, fermée par de gros boutons espacés, entre lesquels il y avait assez despace pour glisser une main.
Cest ce que je fis, en minsinuant à la hauteur de son minou. Sans aucun autre obstacle et les cuisses écartées, juste ce quil fallait pour que je puisse atteindre sa chatte chaude et humide, qui arriva dans la paume de ma main. « Caresses moi, avec tes doigts, donnes moi du plaisir »
Moi : « Tu es complètement folle, penses aux risques »
Elle : « Sil te plait, je nai pensé quà ça ce week-end, tu me rends folles, prends moi avec tes doigts,
»
Je lui caressais la chatte et enfonçais doucement deux doigts dans son minou, brutalement elle sempala dessus et dans loreille murmura : « OOOHHH,
que cest bon,
ne tarrêtes pas, .. » alors que je navais pas bougé. Je me décidais à remuer, doucement, les doigts dans ce fourreau chaud et humide et lensemble du corps de Mireille se contracta en un puissant orgasme et elle murmura : « OOOOH,
cest,
je vais,
je JOUIIIIS,
OOOOHHH,
que cétait bon
, restes encore un peu,
»
Se décontractant je pus me retirer, elle prit ma main et portant mes doigts à sa bouche les suça et se collant à moi : « Tu vois ça cest bien passé et tu as été formidable » Elle se colla de nouveau à moi, un léger baiser sur les lèvres et elle partit.
Je regagnais mon bureau en me disant quand elle était rentrée dans mon bureau, elle devait être sacrément chaude et excitée. Enfin tout cétait bien terminé et javais passé un bon moment, bien quayant une trique raide et gonflée, mais
En fin de matinée, Mireille passa me voir un dossier sous le bras et me dit : « A midi, je tinvite à déjeuner »
Moi intelligemment ? : « Hein »
Elle : « Comme dhabitude tu quittes le bureau, tu fais le tour de la zone et tu reviens. Moi, je vais chez le chinois, je prends de quoi manger et je reviens, nous serons seuls jusquà lembauche et je pourrais moccuper de toi » et aussitôt elle partit.
Je fis ce quelle mavait demandé et environ une demi heure après elle arriva avec ses emplettes faites au chinois. Les déposant sur la table de réunion, je me levais pour voir ce quil y avait de bon, mais Mireille faisant rempart de son corps en se collant à moi, et en rigolant me dit : « Tu devras me passer sur le corps avant de toucher à ce repas, jaimerais tant,
» et collant ses lèvres contre les miennes : « Embrasses moi, jai envie de toi,
ce matin tu ma excitée,
, HOOO que jai envie de toi
». Je glissais une main entre nous et passant lobstacle de la jupe, entre les boutons, jatteignais son minou qui était couvert, par sa petite culotte qui, elle, était très humide. Au moment où jatteignais sa chatte, les jambes se refermèrent. « Arrêtes, si tu me touches, je vais jouir et il faudra que tu me prennes et cest impossible, tu les sais, embrasses moi ».
Je mexécutais donc. Un baiser effroyablement sensuel dans la mesure où tout son corps participait, se collant puis se frottant au mien. Tant et si bien que déjà, personnellement chaud, depuis ce matin, je me mis à bander à en avoir mal à la queue. Mireille sentit leffet créé, car glissant une main entre nous deux, elle dit : « Huumm, viens je vais moccuper de toi, jai envie de toi, je vais te sucer, tu mas fait jouir ce matin à moi maintenant » et me poussant vers et contre la table de réunion, elle défit ceinture et braguette pour sortir mon instrument et le regardant dit : « Jaime te gouter » et elle passa un long et lent coup de langue sur toute la longueur de ma bitte, puis mit le gland dans le fourreau de ses lèvres chaudes, pour me sucer et le bout de sa langue, le titillant.
Moi : « Oui,
jaime ce que tu fais,
jaime que tu me suces,
cest bon,
»
Après sêtre occupé de mon gland elle se mit à mavaler complètement puis à ressortir me pompant avec énergie.
Elle : « Jaime sentir les vibrations de ta queue quand la pression monte, cest bon, ça mexcite »
Et de plus belle, elle sactiva et ce qui devait arriver arriva, je ny tenais plus et je me vidais, une première fois dans se bouche, ce qui ne larrêta pas car elle continua à me pomper et je me vidais une seconde fois. Tout fut avalé, avec une série de soupirs de satisfaction.
Elle : « Cétait bon, jai aimé et toi » et prenant mon sexe qui commençait à très nettement faiblir elle se mit à le lécher, ce qui lui redonna de la vigueur. Enfin elle se redressa, me laissant en plan, et me dit : « On finira plus tard, Il est temps de se restaurer ». Ce que nous fîmes. Puis laprès-midi de travail repris.
En fin daprès-midi, Mireille était venue, pour me demander si jenvisageais de rester après la fermeture des bureaux et je lui confirmais que cétait mon idée. Elle me dit alors quelle envisageait de rester pour soccuper dun « dossier très important ». Je lui répondis, en rigolant, que jétais content de savoir que jétais un « dossier très important ». Eclat de rire.
Malheureusement, le chef de centre au rez-de-chaussée avait dit quil devait rester pour une soumission importante. Mireille vint mannoncer avec un dossier sous le bras, avant que je lui demande ce quelle faisait avec ce dossier elle me dit : « On va soccuper de ce dossier et jai besoin de ton avis » Elle vint à coté de moi, ouvrit le dossier et me dit doucement « Tu peux tintéresser au dessous du dossier, cest souvent le plus intéressant » Je mis quelques dixième de seconde à comprendre
et si elle sétait mise à coté de moi,
je glissais ma main sous sa jupe et remontais, remontais pour arriver à un endroit, entre cuisses, chaud et humide à souhait.
Reprenant son souffle, elle réajusta sa jupe, et se penchant pour membrasser elle mit sa main sur la bosse de mon pantalon. Elle me dit : « Viens dans mon bureau, je vais soigner cette bosse »
Moi : « Tu crains pas que lautre en bas monte ? »
Elle : « Cest vrai, mais ça mexcite que tu me prennes ici, au bureau mais tu as raison on ne peut rien faire ici. Jai envie de toi, je veux en profiter avant que tu ne partes »
Moi : « Moi aussi, mais pas dans ces conditions, tu vois le scandale »
Elle : « Oui, oui,
tu connais le petit bois à gauche sur la route de Panazol, tout prêt dici ? »
Moi : « Oui »
Elle : « On se retrouve dans une demi heure, jespère que tu es en forme, je veux profiter de toi et finir notre conversation »
En sortant du village, il y avait effectivement un petit bois doù partait un chemin forestier qui amenait, ce que je découvris en lempruntant, à une clairière.
Moi : « SI tu continues ce traitement je naurais plus de réserve »
Sur un dernier coup de langue, elle sarrêta et remonta à mon niveau et se colla de nouveau à moi : « Viens, prends moi, jai amené ce quil faut »
Elle ouvrit sa voiture et en sortit une couverture quelle étala entre nos 2 voitures.
« Tu vois ce sera plus confortable que de faire ça debout »
Moi : « Attends, défais ton corsage, je veux gouter à tes seins »
Aussitôt dit, aussitôt fait, le corsage ouvert laissa apparaitre ses seins, que je mempressais de prendre en bouche, de sucer, de lécher.
« Oui,
têtes moi,
jaime sentir que tu maspires,
»
Pour enfin prendre ses tétons qui pointaient et étaient devenus durs et agréables à mordiller car elle aimait ça et souvent en redemander, mais attention pas de marques,
Pendant cette mise en bouche, son bassin collé au mien continuait sa danse érotique et cela devenait de plus en plus insupportable et excitant.
Je décidais de passer à laction, faute de quoi, ce serait trop tard pour moi et je ne serais pas utilisable !
Je remontais sa jupe, la soulevais et la posais sur le capot de la voiture.
Elle : « Quest-ce que tu fais ? »
Moi : « Tu vois, je te mets sur la voiture, pour pouvoir te bouffer la chatte, je veux gouter à ton jus »
Elle : « Non, ne commences pas, jai envie de toi, prends moi, vite »
Pendant cet échange, je lui avais écarté les cuisses, sans quelle oppose, réellement, une grande résistance et je me mis à moccuper de sa chatte gonflée, chaude et humide à souhait. Ma langue parcourait son sillon dentre les grosses lèvres et la musique se mit en route : « Non,
arrêtes,
, prends moi,
, fais moi lamour,
, baises moi,
, si tu continues,
, je vais jouir,
OOOHHH,
continues,
, ouiIIIII,
, continues,
». Elle était chaude à point, je la laissais glisser du capot et arrivant sur la couverture, elle se mit en levrette et remonta sa jupe, mettant son cul à nu, dit : « Montes moi,
cest à toi,
choisis, prends ce que tu veux,
». Les cuisses légèrement écartées, la raie des fesses bien visible avec son minou déjà humide. Il ne me fallu que peu de temps pour me présenter et mintroduire rapidement et avec énergie dans sa grotte damour, ouverte et accueillante. Et je commençais mes va et vient dans son fourreau chaud, ce qui mit rapidement, en route, la sono.
« Ouiii,
Continues,
plus fort, .., prends moi,
je suis à toi,
jaime quand tu me montes,
je suis ta femelle,
Ouiiii, encore,
»
Jétais cramponné à ses hanches et la ramonais avec ardeur, quand je pensais à ses seins quelle aimait que lon soccupe pendant quelle se faisait prendre. Je me couchais sur son dos, il me fut facile daccéder à ses seins, que je mempressais de prendre à pleines mains, les malaxant avec énergie pour mattaquer à ses tétons que je pinçais et roulais entre pouce et index. La réaction ne se fit pas attendre : « Ouiii, jaime,
ooohhhh,
ouiiii,
» mais la position nétait pas facile à maintenir et jabandonnais ses tétons pour reprendre ses hanches et la ramoner avec force, quand elle soupira, en mettant ses mains sur ses fesses et les écartant : « Prends moi par derrière,
oui, prends moi par là,
encules moi,
je te veux là,
oui, ... jaime,
viens ne me fais pas attendre,
». Ses désirs étant des ordres, je changeais de cible et me retirant de sa moule, je mengageais dans sa rosette et forçais lentrée, certes, un peu brutalement, ce qui se traduisit par : « Brute,
tu aimes me forcer,
ouiiiii,
». Et je recommençais mes va et vient, en même temps sa main droite sétait emparée de son minou et, certainement, un ou deux doigts avaient pénétré sa chatte. Cela ne fit que mexciter un peu plus, en pensant que si elle aimait être prise par derrière elle aimait en même temps se caresser et se prendre la chatte.
Cramponné à ses hanches je mactivais dans sa rosette et dans un souffle je lui dis : « Tu aimes te prendre ton minou, pendant que je tencule »
Elle : « Ouiiii,
, jaime que tu me montes,
, ouiIII,
, que tu me prennes par derrière,
, cest bon,
, continues,
, OHHHH,
, OHHHH,
ouIIII,
, narrêtes pas,
, je sens que ça vient,
, OHHH,
, je vais jouir,
» et ny tenant plus, cramponné à ses hanches je me vidais dans son cul tout en continuant à la ramoner et en même temps elle partit : « OUIIIIII,
, JE JOUIIIIS,
, OUIIII,
, OOOUUUIIII,
, cest bon » et on sécroula sur la couverture et elle vint se blottir contre moi. Puis reprenant nos esprits et notre souffle je lui suggérais, la température se rafraichissant de nous replier dans ma voiture. Ce que nous fîmes et installées sur la banquette arrière, je mis mon bras gauche autour de ses épaules et englobait un sein et elle me dit : « Quest ce que tu mas fait ? »
Moi : « Pardon, tu ne sais pas ce quon a fait »
Elle : « Tu ne comprends pas, avant que tu me séduises, jétais une femme je pense normale, un peu pudibonde, avec des envies normales. Je ne serais jamais sortie sans mes dessous choisis avec attention. Depuis que je te connais, quand je sais que je vais te voir, sans hésiter je nen mets pas et je me sens à laise, je ne pense quau moment où tu me prendras, dès que je te vois je suis toute excitée et prête à moffrir à toi, je deviens folle,
tu mobsèdes,
je fais avec toi ce que je naurais jamais osé penser faire et je le fais avec plaisir, même avec envie,
quest-ce que tu as fait ? »
Moi : « Holà,
tu sais, je ne suis pas un psy. Je nai rien fait de spécial, par contre je pense que tu tes révélé à toi-même »
Elle : « Quest ce que tu racontes ? »
Moi : « Je pense, en fait que, pour toi, je suis arrivé à un moment propice, qui ma permis de profiter de toi et de tes charmes! Tu es une femme excitante et sensuelle, qui ne voulait pas le savoir, tu aimes le sexe. Peut-être, les lieux de nos rencontres, un genre de dépaysement et peut-être, involontairement, ai-je été le déclencheur, qui tas révélé à toi-même »
Elle : « Ouais,
peut-être,
mais arrêtes de me caresser,
»
Pendant cet échange Mireille sétait carrément installée contre moi, son dos contre ma poitrine, de telle façon que passant sous ses bras, javais pris possession de ses seins et men occupais sérieusement, les prenant à pleines mains puis les malaxant avec énergie pour enfin arriver aux tétons qui avaient durcis et que je roulais gentiment entre mes doigts.
Elle : « Arrêtes, tu es en train de mexciter,
» et certainement pour me faire arrêter, elle mit ses mains sur les miennes et accompagna le mouvement de celles-ci, le tout accompagné de légers soupirs de satisfaction. La position de Mireille réveilla en moi une idée. Je lui soulevais la jambe droite et la mettait sur le dossier du siège avant. Le compas de ses jambes était ouvert et son minou possible d accès. Je me mis à lui caresser lintérieur de la cuisse en mapprochant de plus en plus vers sa chatte.
Pendant cette opération ma main gauche soccupait tendrement de son sein gauche et je lembrassais dans le cou ce qui entrainait de nombreux frissons de la part de ma partenaire.
Elle : « Jaime,
caresses moi encore,
jaime ta main,
»
Elle mit sa main sur la mienne et ensemble nous caressions sa cuisse, quand je me retirais et mettais ma main sur la sienne en glissant les doigts entre les siens tout en continuant cette caresse, qui tendait à sapprocher de son minou, ce qui mexcitait énormément et entrainait des soupirs de satisfaction. Je continuais ce manège pour enfin glisser sur sa chatte que nous commencions à caresser, et jentendis un « Quest-ce que tu fais ?».
Javais lintention de répondre en avançant, cest à dire que lors de cette caresses ou plutôt de ces caresses, je poussais son majeur entre ses grosses lèvres, ce qui entraina un long soupir. Nayant pas eu dautres réactions je poussais un autre doigt vers cette source de chaleur humide et nous commencions des va et vient, en la masturbant, nous explorions sa grotte damour. En fin elle se débrouillait très bien toute seule, je nétais quun accompagnateur, certes intéressé et jespérais être sur le bon chemin quand la sono se mit en route : « Tes fou,
arrêtes sil te plait,
non,
quest ce que tu fais ?
, arrêtes,
attends,
, OOOHHHH, cest bon,
, continues,
, OOOOHHHH OUI,
continues,
, je sens que ça vient,
, OUIIIIIIII ??
. » En resserrant les cuisses brutalement, elle eu un orgasme important et surtout bruyant. Reprenant ses esprits : « Je pense que tu es de la pire espèce, me faire ça,
tu dois être content de toi, tu as vu ce que tu mas fait faire »
Moi : « Tu as aimé «
Elle : « Oui,
tu mas fait jouir, cétait bon, mais quand même, tu te rends compte
»
Moi : « Et bien, chaque fois que tu te donneras du plaisir, tu penseras à moi »
Elle : « Salaud, tu vas me rendre folle, pourquoi je me suis laissé séduire par toi ? »
Allumant le plafonnier elle regarda sa montre et dit : « Bon sang, le temps passe vite, je dois filer »
Certainement avait-elle joui, mais moi javais une trique intéressante, il fallait faire quelque chose. Ainsi je lui dis : « Tu vois dans quel état tu mas mis, tu ne vas pas me laisser comme ça, tu dois faire quelque chose »
Elle, la main sur ma braguette : « Pourquoi, cest intéressant, à moins que,
oui, je pourrais peut-être faire quelque chose, si tu me le demandes gentiment,
mais jai peu de temps,
»
Moi : « Tu vois jai très envie de toi, viens sur moi,
»
Elle : « On vient juste de faire lamour, laisses moi te gouter, tu mas dit que tu aimais »
Moi : « Oui, oh oui, jaime quand tu me suces, oui, .., viens,
»
Joignant le geste à la parole, nous avions dégagé ma hampe quelle entrepris de caresser du bout des doigts, du bout des ongles, pour enfin lécher le gland avant de me prendre en bouche doucement, du bout des lèvres pendant que sa langue le titillait, puis progressivement elle mavala complètement et elle commença à me pomper. Elle sactivait avec ardeur, quand tout à coup elle sarrêta et dit : « Tu aimes »
Moi : « Oh oui, cest bon »
Elle : « Alors dis le,
dis que tu aimes ce que je fais, que tu aimes que je te suces »
Moi : « Tu le sais je te lai dit déjà ?
Tes lèvres sont un fourreau doux et excitant »
Après cet encouragement Mireille se remit à faire coulisser, avec douceur, ma bite dans le fourneau chaud de sa bouche.
Et comme jappréciais ses commentaires quand nous faisions lamour, enfin quand nous baisions, je me mis à commenter son action : « Oui,
cest bon,
jaime quand tu me suces,
»
Suite à ces appréciations il me parut que Mireille sactiva avec plus dénergie sur « popol » et il ne fallu pas longtemps pour que je sente la pression monter et lengin se durcir se gonfler.
Je le dis à Mireille : « Attention,
je vais jouir,
OUIIIIIII
» cela ne larrêta pas, bien au contraire, le mouvement saccéléra et quelques instants après, ne pouvant plus tenir je me vidais dans sa bouche. Le temps de tout avaler et de reprendre ses esprits, elle était contre moi : « Embrasse moi, tu as aimé ? ». Jen profitais pour glisser une main vers son intimité, que jenveloppais de ma main, elle me laissa faire quelques instants, puis ses cuisses se refermèrent brutalement : « Non, arrêtes,
soit gentil, tu sais que je resterais bien,
mais je ne peux pas rester,
il faut que je parte » et elle se dégagea. Nous sortîmes de la voiture et elle se prépara à entrer dans la sienne et je lui dis : « Noublies pas de remettre ta petite culotte,
sans ça, on pourrait croire des choses,
»
Elle : « Tes un amour, jallais partir comme ça,
On se revoit demain, et noublies pas le pot de départ offert, lundi prochain, pour ton départ par le centre »
Après le départ de Mireille, je restais un moment à contempler les étoiles et surtout à remémorer notre aventure. Elle voulait que ce fût moi qui lai dragué, ce nétait pas important si ça lui faisait plaisir. Le fait quà lépoque je métais dit « cette nana ce doit être un bon coup », javais vu juste, mais je ne pensais pas que cela senchainerait aussi facilement et aussi agréablement. Cétait une sacrée femelle, certes elle aimait le sexe et elle participait à fond, je dirais, sans un mauvais jeu de mots, elle se donnait à fond, elle aimait ça. Javais eu plaisir à ce mois de rencontre.
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